J’ai le plaisir d’annoncer un article, écrit récemment, intitulé :

« L’épistémologie de la clinique, un engagement ajusté dans les sciences de l’éducation et de la formation ».

Il est paru dans la revue des Dossiers des sciences de l’éducation n°48/2022 : « Les épistémologies alternatives en sciences de l’éducation et de la formation », aux Presses Universitaires du Midi

Table des matières

Vous le trouverez dans sa dernière version avant publication, ici.

Il sera dans OpenEditions Books en 2024

 

J’ai le plaisir d’annoncer la publication de la revue des Dossiers des sciences de l’éducation n°48/2022, intitulée : 

« Les épistémologies alternatives en sciences de l’éducation et de la formation »

aux Presses Universitaires du Midi

C’est l’épistémologie qui est au centre de ce numéro car l’analyse critique des conditions de production, de validité et d’effectivité des connaissances constitue un processus fondateur de toute recherche qu’il est déterminant de promouvoir. Deux priorités ont été fixées aux articles retenus pour répondre à cette exigence épistémologique : s’inscrire dans les débats actuels qui alimentent l’évolution disciplinaire des sciences de l’éducation et de la formation ; développer des conceptions scientifiques alternatives afin de valoriser de nouvelles manières de concevoir et de faire de la recherche, au cœur d’enjeux tant scientifiques que sociétaux. Le positionnement choisi se démarque ainsi d’un registre traditionnel pour asseoir des approches épistémologiques audacieuses, porteuses de changements fructueux pour les recherches en éducation et en formation. Citons notamment une épistémologie de la recherche-intervention création, une épistémologie du lien comme alternative au positivisme, une épistémologie quantique-pragmatiste dans les recherches conjointes, une épistémologie performative face à l’Anthropocène, une épistémologie revisitée de la recherche collaborative ou de la recherche clinique.

Couverture

Table des matières

Il sera dans OpenEditions Books en 2024

 

Mireille Cifali, Entretien avec Léo Lebrun, Lire en braconnant, écrire en expérience, mais pourquoi donc ?, Revue Sociographe, n°77, 2022/1.

 

Revue Sociographe
Braconnages bibliographiques. Le travailleur social et la lecture,
n°77, 2022/1.

Sébastien Fournier et Joseph Rouzel (dir), L’éducation spécialisée. Enjeux cliniques, politiques, éthiques, L’Harmattan, 2021.

Les nombreuses réformes qui s’abattent depuis quelques années sur le champ de l’éducation spécialisée provoquent de profonds bouleversements dans le domaine de la praxis si bien que les professionnels du secteur ont parfois l’impression de se trouver face à une tâche de plus en plus impossible. Injonctions paradoxales, perte de repères (et de sens), sentiment d’impuissance, clivage dans l’articulation entre le singulier et le collectif qui constitue pourtant la pierre angulaire du travail éducatif. Bref, les maux ne manquent pas. Ils viennent traduire un ensemble de souffrances qu’il s’agit d’entendre. Et pour cause, au-delà des professionnels qui traversent ces difficultés, il y a aussi des « usagers » qui sont également impactés.

Louis-Marie Bossard (dir), Histoire de la clinique d’orientation psychanalytique en éducation et formation. Parfois de témoins, L’Harmattan, 2020.

Depuis Freud, persuadés que la psychanalyse pouvait présenter un intérêt certain pour la pédagogie, de nombreux psychanalystes ont mis en œuvre et théorisé des pratiques éducatives prenant en compte les dimensions inconscientes du sujet. À leur suite, des enseignants et chercheurs universitaires ont fait évoluer la relation entre psychanalyse et éducation, en passant d’une pratique appliquée, selon le souhait de Freud, à une démarche de production de savoirs référée à la psychanalyse.

Les propos recueillis sont ceux de Claudine Blanchard-Laville, Mireille Cifali, Jean-Claude Filloux, Jeanne Moll, Nicole Mosconi, Jacques Natanson et Bernard Pechberty.

Jean-Marc Paragot (dir), Chroniques du confinement. Du soi professionnel confiné au soi personnel continué, L’Harmattan, 2020.

Par décret publié au Journal officiel le 17 mars 2020, la France est confinée depuis le 16 mars. Cette situation va durer officiellement jusqu’au lundi 11 mai 00h. Dès le début, un groupe de professionnelles et de professionnels travaillant dans les métiers de l’humain décide de tisser un lien au-delà des confinements individuels. Chaque semaine un tome (de 1 à 8) sera édité sous une forme numérique à usage interne. Il regroupera les « chroniques confinées » écrites durant la semaine. La chronologie est hebdomadaire et chacun.e pourra faire correspondre cette période avec les événements particuliers survenus chaque semaine.

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Written on novembre 26th, 2020 , écritures complices récentes Tags: , , ,

Recensions (suite au 17 octobre 2019)

Concernant la publication de l’ouvrage
S’engager pour accompagner. Valeurs des métiers de la formation, PUF, 2018,

une nouvelle recension de Long Pham Quang
dans la Revue internationale d’éducation de Sèvres, n° 80, 2019,
que vous trouverez ici

Written on octobre 17th, 2019 , événements Tags: , ,

Mireille Cifali, Florence Giust-Desprairies, Thomas Périlleux (dir.), Accueil des affects et des émotions en formation et recherche. Approches cliniques, L’Harmattan, 2019, Coll. Clinique et changement social

L’enseignement, l’apprentissage, l’accompagnement sont encore majoritairement une rencontre en présence des corps, avec des émotions de plaisir, d’enthousiasme, d’amour, d’admiration ou d’angoisse, de terreur, de peur, de dégoût, etc. À rebours de l’imaginaire d’une maîtrise de l’humain et de ses passions, les auteurs s’accordent sur l’importance de reconnaître la puissance des émotions et des sentiments, au coeur de la relation aux autres, hors de tout formatage pré-établi. Ils reviennent sur le clivage opéré entre affectif et cognitif, sentiment et pensée pour préserver le nécessaire « travail dans l’intériorité » que leur nouage exige.

Mireille Cifali est professeur honoraire de l’Université de Genève, Florence Giust-Desprairies est professeur émérite à l’Université Paris 7 Denis-Diderot et Thomas Périlleux, professeur à l’Université catholique de Louvain. Ont également participé à cet ouvrage : Sophie Grossmann, Sophie Hamisultane, Dominique Lagase-Vandercammen, Kim Leroy, Christophe Niewiadomski, Antoine Masson, Long Pham Quang, Jacques Rhéaume, Christophe Roiné.

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Voir page « Ouvrages« 

Voir Article 2011-2019

Mireille Cifali, Préserver se conjugue, même au futur, Education permanente « Former demain », septembre-décembre 2019,
n°220-221, pp. 15-23.

Pour réfléchir au futur, l’auteure s’en tient à l’aspect de la formation se fondant sur la rencontre entre un professionnel et des personnes en quête d’un développement, d’une place, d’un savoir. Elle envisage les dimensions vers lesquelles va son inquiétude actuelle : souci de la relation, d’un soi en rapport à un autre tenu comme un sujet ; soin d’une rencontre, d’un accompagnement, d’une temporalité nécessaire pour penser et réfléchir ; maintien d’une sensibilité et d’une qualité. Plutôt que de projeter, elle sauvegarde ce qui aurait à perdurer tout en se transformant. C’est le verbe préserver que l’auteure conjugue. Avec une double question : peut-on prévenir certaines évolutions que l’on juge destructrices d’un humain ? Comment une formation des adultes pourrait-elle apporter sa contribution ?

Conférence autour de l’ouvrage « S’engager pour accompagner. Valeurs des métiers de l’humain », Université de Genève, Laboratoire RIFT, mardi 4 décembre 2018, Unimail, Salle MR 160.

Sur inscription : rift-info@unige.ch

Affiche

Abstract

Dans son dernier ouvrage, Mireille Cifali explore la part de l’engagement dans la formation, part pour le moins essentielle qu’il s’agisse de former ou de se former.Engagement dans le savoir, la parole, la voix et les techniques, engagement corporel jusque dans les maladresses. Engagement aussi pour prendre des risques, se maintenir dans un processus de création jour après jour à côté des habitudes, des habiletés, des capacités et même des compétences.Pour accompagner et parfois résister, un engagement dans le savoir est-il en effet souhaitable ? Être concerné, soi, par le savoir transmis ? Attentif à l’autre à qui l’on s’adresse ? S’engager dans l’expérience de former, signe de notre intérêt ? A cesquestions, Mireille Cifali répond par l’affirmative, y voyant le gage d’une attention à ladimension relationnelle et aux sentiments éprouvés qui confère à la transmission dessavoirs ce surcroît d’humanité. Pour un formateur sont alors dessinées l’articulation fragile entre théories et pratiques,entre expertise et expérience vécue, ainsi que la place indispensable réservée à un travailéthique. C’est sur son expérience de clinicienne de la formation qu’elle s’appuie pour transmettre les valeurs à l’origine de dispositifs où penser est aussi une joie.

Elle propose de vous engager avec elle dans l’exploration de ses questionnements sous forme de dialogues, en réaction aux questions de quelques lecteurs avertis et dans unéchange formateur et bienveillant avec l’assemblée.

 

Anne-Marie Dozoul et Long Pham Quang, Pour un hôpital vivant, Paris, L’Harmattan, 2018.

Pendant plus de vingt ans, les coauteurs ont animé et organisé des dispositifs de formation autour du thèmede l’interculturalité dans les soins touchant aux questions des croyances, des mythes, des rites, du rapport au corps, à la douleur, à l’alimentation, à l’intime, à la naissance, à la mort, à l’autre. De façon récurrente, les attentes de formation portent sur l’acquisition de savoirs sur l’autre. Ils sont nécessaires mais insuffisants.Nécessaires comme repères pour contextualiser, les savoirs s’avèrent néanmoins insuffisants s’ils empêchentd’accompagner, d’être avec l’autre. Instrumentalisés, ils servent alors à anticiper, maîtriser la rencontre avec la personne se retrouvant privée de parole puisque l’on sait à sa place. Dans cet essai, cet autre constitue unefigure emblématique de l’altérité qui est analysée en milieu hospitalier. À partir de nombreuses illustrations, les perspectives envisagées questionnent également l’étrange et l’étranger se logeant en chacun denous-mêmes et mobilisés dans toute rencontre.

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Mireille Cifali, L’énigme de la voix, in M. Cifali, S. Grossman et T. Périlleux, Présences du corps dans l’enseignement et la formation. Approches cliniques, Paris, L’Harmattan, Coll. Clinique et changement social, 2018, p. 153-173.

Mireille Cifali, Sophie Grossman et Thomas Périlleux, Présences du corps dans l’enseignement et la formation. Approches cliniques, Paris, L’Harmattan, 2018, Coll. Clinique et changement social.

 

La présence ne se décrète pas. Elle résulte moins d’une volonté que d’une disponibilité qui engage dans la relation, dans l’implication des corps. Que peut signifier la mise en mouvement du corps dans l’apprentissage, la formation, la relation professionnelle, la transmission ? À partir de leur propre expérience comme enseignants et formateurs, les auteurs soutiennent cette conviction : la relation formative exige un engagement dans le vif de la rencontre, elle nécessite une attention soutenue aux mouvements qui, dans la voix comme dans le geste, indiquent des états du corps et des atmosphères relationnelles.

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Publication récente 

Voir aussi page « Articles 2011-2017 »

Action poétique dans le monde de la science et de la formation,

in Gilles Amado, Jean-Philippe Bouilloud, Dominique Lhuillier, Anne-lise Ulmann, La créativité au travail, Paris, Erès, 2017, p. 109-126.

Encyclopédie d’analyse des activités, Sous la direction de Jean-Marie Barbier et Marc Durand, Paris, PUF, 2017.

À l’interface des mondes de la recherche et des métiers de la performance s’est constituée depuis une quarantaine d’années une nouvelle culture de recherche, prenant l’activité sociale et professionnelle comme objet d’analyse dans l’étude des transformations sociales. À la fois stratégie individuelle, vecteur d’action  et de construction des identités, l’activité recouvre un champ très vaste de pratiques et de disciplines et fait aujourd’hui émerger des articulations inédites entre transformations intellectuelles et mutations sociales. L’Encyclopédie d’analyse des activités entend identifier ces activités humaines, les décrire, les comprendre et envisager des outils pour les transformer. Elle est le premier ouvrage à proposer une vue d’ensemble de ce champ. Résultat d’un travail collectif, réunissant plus de cinquante spécialistes de l’analyse des activités, elle s’adresse tant aux professionnels qu’aux chercheurs.

Histoires de vie professionnelle. Réfléchir, agir, construire. Sous la direction de Françoise Pasche-Grossin, Marie-Christine Juillet, Christine Riat, Agnès Barhier. Illustration Muriel Daucourt-Bouille, Editions HEP_BEJUNE, Collection Débats, 2017.

Préface Mireille Cifali

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Eric Walther, Formateurs d’enseignants. Défis au quotidien, Lausanne, Editions Ouverture, 2017.

Résumé

EVM (école vaudoise en mutation), HEP (haute école pédagogique) sont deux acronymes qui ont marqué la vie de l’école obligatoire et postobligatoire du canton de Vaud ces vingt dernières années.  Dans un contexte parfois fécond, souvent fébrile, et quels que soient le degré et la forme de leur engagement, les formateurs sont alors témoins ou/et acteurs d’une « traversée » par moments hallucinante. Poursuivant son projet de montrer par des récits « un formateur au travail », l’auteur propose UN regard sur cette longue période de changements. Une rude traversée.

« Comme les éclairs d’un flash, ces récits projettent une vive lumière sur la réalité de l’école et de ses enseignants mieux que ne sauraient le faire de longues analyses sociologiques. (…) A vrai dire, la force de ces textes, c’est que tous ils suscitent chez le lecteur réflexions, réactions, souvenirs, prises de position. » Jean-Pierre Rey

Blog de l’auteur

Written on juin 19th, 2017 , écritures complices récentes Tags: , , ,

Commencements et recommencements, Education permanente, n°210, dirigé par Patrick Mayen et Joris Thievenaz.

La question des commencements, ou des recommencements, fait partie de ces problématiques que l’on rencontre un peu partout dans le champ de l’éducation et de la formation des adultes. On «commence» un cours ou un programme de formation, on «recommence» à apprendre ou à travailler, mais on cherche aussi à comprendre les «commencements» ou les origines d’une situation, du développement ou d’un phénomène, etc. Quiconque pénètre les « coulisses » de la formation (depuis sa conception jusqu’à sa mise en œuvre) s’aperçoit qu’il y a là un enjeu central, pour le formateur comme pour l’apprenant. Derrière la thématique des commencements se cache en effet la difficile question de ce que l’on nomme couramment les «ressorts», «déclencheurs», «leviers» et autres «moteurs» de l’activité. Et rien n’est plus difficile que de commencer, ou de penser ce commencement ! En s’emparant de ce thème banal en apparence, Education permanente invite à une réflexion transdisciplinaire sur la question de l’initiation et des initiateurs de l’activité, dans le champ de la formation et dans toutes sortes de contextes.

Journée au Cnam le 9 juin 2017

Ecritures complices

Long Pham Quang, Emotions et apprentissages, Paris, L’Harmattan, 2017.

Apprendre de, apprendre par, apprendre dans les émotions…
Peu de questions présentent un enjeu social et personnel, un enjeu théorique et méthodologique aussi fort pour la recherche, pour la formation que pour la construction de sa propre existence.
Loin d’être des états transitoires, loin d’être des empêchements d’agir, les émotions trouvent leur pleine portée dans la mise à jour du rapport qu’elles entretiennent avec l’engagement et la construction de sens dans l’action. Elles permettent et donnent sens aux apprentissages, qu’ils soient possibles ou reconnus par les sujets. Les émotions informent et dynamisent les processus de subjectivation.
C’est à l’occasion d’une immersion en soin mortuaire, méconnu et pourtant essentiel, que sont avancées dans cet ouvrage des propositions théoriques et méthodologiques visant l’analyse des rapports pouvant s’établir entre émotions situées et apprentissages en situation de travail. Cet ouvrage s’adresse aux chercheurs comme aux professionnels et étudiants désireux de disposer de définitions et d’outils d’analyse précis.

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9782130729952Evénement

La recension par Mej Hilbold de l’ouvrage de Mireille Cifali, Florence Giust-Desprairies, Thomas Périlleux, « Processus de création et processus cliniques » (PUF, 2015)

 est parue dans la Revue Cliopsy, n°15, 2016. Elle est consultable ici.

Ecriture complice récente

Voir aussi page « Productions complices »

Christine Delory-Momberger (ed.), Eprouver le corps. Corps appris, corps apprenant, Editions Eres, 2016.

C’est à travers diverses expériences singulières du corps qu’est mise en avant la subjectivité d’un être corporel et charnel qui « éprouve » et qui « apprend » le monde, les autres et lui-même dans son corps.

La corporéité apparaît comme une dimension essentielle des processus de construction du sujet au sein de l’espace social. Dans l’expérience que le corps fait de lui-même et du monde s’originent et s’inscrivent tous les procès de formation et d’apprentissage, formels et informels, expérientiels et intellectuels. Le corps est appris et il apprend. C’est de cette dimension originaire du corps et de ses expériences dans la formation et les apprentissages que voudrait rendre compte cet ouvrage collectif.

Avec la participation de Catherine AGTHE-DISERENS, Patrick BAUDRY,Christophe BLANCHARD, Mireille CIFALI BEGA, Anne DIZERBO, François DURPAIRE, Karine ESPINEIRA, Mike GADRAS, Izabel GALVAO, Stéphanie KUNERT, David LE BRETON, Sarah LECOSSAIS, Béatrice MABILON-BONFILS, Michèla MARZANO, Valérie MELIN, Sylvie MORAIS, Lennize PEREIRA PAULO, Jean-Jacques SCHALLER, Maud-Yeuse THOMAS,Catherine TOURETTE-TURGIS, Christoph WULF.

Evénement

Débat : La dimension spirituelle a-t-elle sa place dans le champ de la formation?, le 1er décembre entre 18h et 19h30.

A l’occasion de la parution de l’ouvrage de Pierre Dominicé, Au risque de se dire, Téraède, 2015.

A la Maison des Arts du Grütli, 16 rue du Général Dufour, rez de chaussée / Fonction Cinéma.

Avec  Patrick Baud, théologien, modérateur de la compagnie des pasteurs; Etienne Bourgeois, professeur à la Faculté de Psychologie et des Sciences de l’Education; Mireille Cifali, professeur honoraire, historienne et psychanalyste, en présence de l’auteur.

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Evénement

La dimension spirituelle a-t-elle sa place dans la formation ? Samedi 31 octobre, 9h30-12h30, Paris

A l’occasion de la parution de l’ouvrage de Pierre Dominicé, Au risque de se dire, Téraède, rencontre-débat, avec la participation de Marc Boss, Alain Boutonnet, Mireille Cifali, Sandra Enlart.

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Ecriture complice récente (Voir aussi page « Productions complices »)

Publication récente (Voir aussi page « Articles 2011-2015 »)

Pierre Dominicé, Au risque de se dire, Téraède, 2015.

Préface de Mireille Cifali, Spiritualité et formation.

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Confrontés à un christianisme occidental décadent et à des références prises dans un mouvement de bascule, nos héritages religieux et culturels ssont de plus en plus mis de côté et dissociés du champ de la connaissance. L’approche biographique développée ici, dans l’optique d’un travail d’interprétation en profondeur, conduit à redonner un sens à la dimension spirituelle.

Joris Thievenaz et Catherine Tourette-Turgis (eds.), Penser l’expérience du soin et de la maladie. Une approche par l’activité, De Boeck, 2015.

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Au-delà des inscriptions disciplinaires, des choix théoriques et des types de situations étudiées, les neuf chapitres qui composent cet ouvrage nous invitent à appréhender conjointement le vécu du soignant et celui du soigné à travers une approche par l’activité du sujet en situation d’action. La notion d’«activité», tour à tour mobilisée pour décrire le vécu et les apprentissages des professionnels du soin, puis de ceux qui en sont les destinataires permet d’opérer un déplacement de pensée vis-à-vis des catégories naturelles à travers lesquelles on appréhende habituellement la santé, la maladie et donc l’éducation thérapeutique.

Les recherches présentées dans cet ouvrage apportent un regard nouveau sur l’acte de soin ou d’accompagnement, et plus largement sur la formation des adultes. Il s’agit de proposer aux lecteurs quelques voies d’accès à l’activité réelle des sujets quitte, pour cela, à mobiliser de nouvelles grilles de lecture et des méthodes originales pour rendre compte des situations de travail ainsi que des apprentissages potentiels qui en découlent.

Ecriture complice récente

Voir aussi page « Productions complices »

Richard Etienne, Yveline Fumat, Comment analyser les pratiques éducatives pour se former et agir ?, Bruxelles, De Boeck, 2014.

Voir ici le flyer

Le monde de la formation recourt de plus en plus à l’analyse des pratiques. Elle est même inscrite dans les instructions et décrets officiels. On la retrouve dans la plupart des plans de formation des métiers de l’humain, avec des horaires appropriés, parfois conséquents.

Mais les étudiants, les enseignants et les formateurs ne savent pas toujours à quel dispositif se vouer. Ces derniers n’ont souvent pas été formés eux-mêmes à cette pratique. Ils choisissent bien souvent la ou les méthodes qu’ils connaissent en délaissant d’autres techniques. Entre une analyse clinique à dominante psychanalytique et une méthode psycho-sociale ou puisée dans le cadre de la didactique professionnelle, le choix n’est pas toujours fondé sur des évaluations issues du travail réel.

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Evénement

Ecriture complice récente

Voir aussi page « Productions complices »

Dieudonné Mushipu Mbombo, Le récit du pèlerin de Saint Ignace de Loyola et son rôle formatif dans l’accompagnement spirituel. L’apport des sciences humaines par l’herméneutique classique et la psychologie culturelle dans la lecture pastorale d’un tel récit,Fribourg, Academic Press Fribourg, 2014.

Cet ouvrage m’a été dédicacé. Que l’auteur en soit vivement remercié.

A l’heure actuelle où l’homme moderne semble très avancé en matière de sécurité personnelle et communautaire, on le voit plus fragile que jamais. Il a besoin de soutien. Les cabinets de psychologie et les demandes d’aide se multiplient. Plusieurs expressions apparaissent aujourd’hui: coaching, tutorat, monitorat, consulting… mais aussi accompagnement. L’homme en recherche de sens a besoin d’être accompagné au niveau spirituel. Il revient également à l’Eglise d’accomplir cette tâche en aidant  la personne humaine dans la construction de son identité personnelle et en lui permettant de découvrir la présence d’un Dieu qui engendre à la vie dans son histoire, afin de parvenir ainsi à une prise de conscience que « tout homme est une histoire sacrée ».

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Publication récente

Voir aussi page « Articles 2011-2014 »

« Clinique du négatif : enseignement et formation en tensions »

J’ai le plaisir de vous signaler la parution des Cahiers de psychologie clinique n°41 dans lequel se trouve un dossier intitulé « Clinique du négatif : enseignement et formation en tensions » que nous avons coordonné Thomas Périlleux et moi-même.

Vous trouverez ce numéro 41 sur le site Cairn, ainsi que mon article « Chemin de lucidité : un pessimisme questionné »

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Evénement

Parution du numéro 8 de la Revue Cliopsy, Du groupe en éducation et en formation 2ème partie, revue électronique, octobre 2012.

Written on décembre 2nd, 2012 , événements Tags: , , ,

Publication récente

Voir aussi page « Articles 2011-2014 »

Mireille Cifali, Brefs repères pour l’analyse des pratiques professionnelles, in Revue Cuadernos de Pedagogia, n°427, Barcelone, octobre 2012.

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Mireille Cifali "Une carrière consacrée aux métiers de l'humain". Site propulsé par WordPress avec le Theme Adventure par Eric Schwarz
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