Deux ouvrages de Jean Christophe Contini

J’ai le plaisir d’informer de la publication de deux ouvrages
de Jean Christophe Contini.

Le premier : La pulsion muette, L’Harmattan, Collection « Psychanalyse et lien social », 2024, avec une préface de Joseph Rouzel.

 » La pulsion muette est le terme utilisé par Freud pour nommer la pulsion de mort, laquelle fut une découverte aussi fondamentale que scandaleuse à son époque, aujourd’hui encore.
C’est la part de clair-obscur énigmatique de cette notion que j’ai voulu tenter de mettre en relief ici, rassemblant par le truchement du récit et d’une écriture au ras des pâquerettes et au pied de la lettre, quelques menues pièces détachées, bien des années après avoir quitté le divan de mon analyste : Nachträglichkeit (après-coup)… » 

Le second : L’éducation spécialisée au risque de la psychanalyse. Un art de « faire », L’Harmattan, Collection « Psychanalyse et lien social », 2024, avec une préface de Jacques Cabassut.

Témoin du compagnonnage de l’auteur avec l’éducation spécialisée, ce livre rassemble des textes publiés en revues et ouvrages dans le champ du travail social. Ils sont le fruit d’un parcours personnel et d’une recherche doctorale consacrée à l’agir éducatif spécialisé à partir de l’étude d’un cahier de liaison institutionnel.
La psychanalyse y est prise à témoin, du côté de l’auteur tout comme du métier, ses concepts permettant de soutenir la pratique de cet « art de faire » méconnu, mais aussi la pensée et la réflexion théoriques que celle-ci exige.


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L’éducation spécialisée

Sébastien Fournier et Joseph Rouzel (dir), L’éducation spécialisée. Enjeux cliniques, politiques, éthiques, L’Harmattan, 2021.

Les nombreuses réformes qui s’abattent depuis quelques années sur le champ de l’éducation spécialisée provoquent de profonds bouleversements dans le domaine de la praxis si bien que les professionnels du secteur ont parfois l’impression de se trouver face à une tâche de plus en plus impossible. Injonctions paradoxales, perte de repères (et de sens), sentiment d’impuissance, clivage dans l’articulation entre le singulier et le collectif qui constitue pourtant la pierre angulaire du travail éducatif. Bref, les maux ne manquent pas. Ils viennent traduire un ensemble de souffrances qu’il s’agit d’entendre. Et pour cause, au-delà des professionnels qui traversent ces difficultés, il y a aussi des « usagers » qui sont également impactés.


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